The ruling from the European Court of Human Rights this week, endorsing compulsory vaccination of kindergartners in the Czech Republic, looks like the thin end of the wedge for making the experimental “Covid” va((ines compulsory. I have pasted some comments below. In addition, please watch yesterday’s UK Column News, where they exposed the conflicts of interest of the ECHR judges. It’s the usual story: everything has been bought and is now controlled by Bill Gates et al. There are no checks and balances at the ECHR. Any by the way, if you have not yet bookmarked and are not yet watching UK Column News every Monday, Wednesday and Friday at 1 p.m. UK time, you should be. This is a global agenda and the staff at UK Column News are breaking it down for us, explaining all the documents and setting out how the agenda is being rolled out, step by step. It is ESSENTIAL viewing: https://www.ukcolumn.org/.
These are experimental va((ines that have been given “emergency use authorization” in the US and “conditional marketing authorisations” in the European Union and the UK. In law, they cannot be made mandatory, but of course the criminals running our so-called governments are finding other ways to force populations to have them, such as immunity passports, “PCR tests” and impregnated masks (see attached video). Everyone was delighted about the Council of Europe resolution in January that stated that va((cination against coronavirus could not be made mandatory, but this was highly misleading. I did not get time to write a commentary on that whole document so i will simply below a comment from one of my correspondents. My discussion on this topic continues below that, and is followed by some further comments from francophone campaigners.
START COMMENT FROM CORRESPONDENT
COMMENT: “The Council of the EU negotiates and adopts not only legal acts but also documents such as conclusions, resolutions and statements, which do not intend to have legal effects. The Council uses these documents to express a political position on a topic related to the EU’s areas of activity. These types of documents only set up political commitments or positions – they are not foreseen in the treaties. Therefore, they are not legally binding.”
https://www.consilium.europa.eu/en/council-eu/conclusions-resolutions/
Firstly, they are not vaccines, they are GMOs, injectable genetic material.
Secondly, the Council of Europe only advises the European Court of Human Rights in Strasbourg.
Thirdly, speaking of no obligation is already, in itself, legitimizing the genocide on part of the population.
This is only an illusion.
END COMMENT FROM CORRESPONDENT
Furthermore:
The European
Medicines Agency issued conditional marketing authorisations for the Covid
vaccines currently being distributed. For this authorisation, “less comprehensive pharmaceutical and
non-clinical data may be accepted”.
The UK Medicines and Healthcare
Products Regulatory Agency (MHRA) granted temporary authorisation for Covid‑19 vaccines In December
2020 and January and February 2021. “The emergency authorisation under
Regulation 174 is for emergency use and is not
a marketing authorisation.”
BUPA,
a UK insurer, has stated that it does not provide cover for the Covid vaccines
because they are “an experimental
treatment”:
“Side effects arising
from the COVID-19 vaccine are not covered under our exclusion for:
Complications from excluded or restricted conditions/treatment and experimental
treatment exclusion”.
All US Food and Drug Administration (FDA)
authorization letters for Covid-19 vaccines
expressly provide that the vaccines are “An
investigational vaccine not licensed for any indication“ and the
FDA has specifically required that: “All
promotional material relating to the COVID-19 vaccine clearly and conspicuously
… state that this product has not been approved or licensed by the FDA”.
The FDA guidance on emergency use authorization of medical products requires the
FDA to “ensure that recipients are
informed … that they have the option to accept or refuse the EUA product.” Under
an EUA, vaccines cannot be made mandatory.
Indeed,
they can be neither licensed nor approved for the very reason that they have
not undergone phase 3 clinical trials. In fact, the mass rollout of these
vaccines to whole populations is itself the clinical trial required for such
approval and licensing to be granted, and these clinical trials will not be
complete until 2023.
Version française :
L’arrêt rendu cette semaine par la Cour européenne des
droits de l’homme, qui approuve la vaccination obligatoire des enfants en âge
préscolaire en République tchèque, semble être la dernière étape pour rendre
obligatoire la vaccination expérimentale “Covid”. J’ai collé
quelques commentaires ci-dessous. En outre, veuillez regarder l’émission UK
Column News d’hier, où ils ont exposé les conflits d’intérêts des juges de la
CEDH. C’est l’histoire habituelle : tout a été acheté et est maintenant
contrôlé par Bill Gates et al. Il n’y a pas de contrôle et d’équilibre à la
CEDH. Au fait, si vous n’avez pas encore ajouté votre marque-page et si
vous ne regardez pas encore UK Column News tous les
lundis, mercredis et vendredis à 13 heures, heure du Royaume-Uni, vous
devriez le faire. Il s’agit d’un complot mondial et l’équipe de UK Column
News le décortique pour nous, expliquant tous les documents et montrant comment
l’ordre du jour est mis en place, étape par étape. C’est un visionnage ESSENTIEL : https://www.ukcolumn.org/.
Ce sont des va((ins expérimentalaux qui ont reçu une
“autorisation d’utilisation d’urgence” aux États-Unis et des
“autorisations conditionnelles de mise sur le marché” dans l’Union
européenne et au Royaume-Uni. En droit, ils ne peuvent pas être rendus
obligatoires, mais bien sûr les criminels qui dirigent nos soi-disant
gouvernements trouvent d’autres moyens pour forcer les populations à les avoir,
comme les passeports d’immunité, les “tests PCR” et les masques imprégnés
(voir la vidéo ci-jointe).
Tout le monde s’est réjoui de la résolution du Conseil de
l’Europe de janvier dernier, qui stipulait que la vaccination contre le
coronavirus ne pouvait être rendue obligatoire, mais cette résolution était
très trompeuse. Je n’ai pas eu le temps d’écrire un commentaire sur l’ensemble
de ce document, je me contenterai donc de reprendre ci-dessous le commentaire
d’une de mes correspondants. Ma discussion sur ce sujet se poursuit ci-dessous,
et est suivie de quelques autres commentaires de militants francophones.
DEBUT DU
COMMENTAIRE DU CORRESPONDANT
https://theirishsentinel.com/2021/01/29/european-court-of-human-rights-voted-that-prohibits-member-states-from-making-vaccination-against-the-coronavirus-mandatory/ :
Aujourd’hui,
une résolution du Conseil de l’Europe a été votée qui interdit aux États
membres de rendre obligatoire la vaccination contre le coronavirus ou de
l’utiliser pour discriminer les travailleurs ou toute personne qui ne se fait
pas vacciner.
COMMENT : “Le Conseil de l’UE négocie et adopte
non seulement des actes juridiques mais aussi des documents tels que des
conclusions, des résolutions et des déclarations, qui n’ont pas vocation à
avoir des effets juridiques. Le Conseil utilise ces documents pour exprimer une
position politique sur un sujet lié aux domaines d’activité de l’UE. Ces types
de documents ne font que définir des engagements ou des positions politiques –
ils ne sont pas prévus dans les traités. Par conséquent, ils ne sont pas
juridiquement contraignants.”
https://www.consilium.europa.eu/en/council-eu/conclusions-resolutions/
Premièrement, ce ne sont pas des vaccins, mais des OGM,
du matériel génétique injectable.
Deuxièmement, le Conseil de l’Europe ne fait que conseiller
la Cour européenne des droits de l’homme à Strasbourg.
Troisièmement, parler d’absence d’obligation, c’est déjà,
en soi, légitimer le génocide sur une partie de la population.
Ce n’est qu’une illusion.
FIN DU
COMMENTAIRE DU CORRESPONDANT
Par ailleurs :
L’Union
européenne a prévu une dérogation temporaire et strictement liée au COVID-19 à certaines dispositions de la directive
OGM pour les essais cliniques sur les vaccins et traitements COVID-19 qui
contiennent ou consistent en des organismes génétiquement modifiés (OGM) en
juillet 2020. Ce document indique explicitement que la dérogation s’applique
aux “investigational medicinal products” en anglais et aux
“médicaments expérimentaux” dans la version française.
L’Agence
européenne des médicaments a délivré des autorisations de mise sur le marché
conditionnelles pour les vaccins Covid actuellement distribués.
Pour cette autorisation, “des données pharmaceutiques et non-cliniques
moins complètes peuvent être acceptées”.
L’Agence britannique de réglementation des médicaments et
des produits de santé (MHRA) a accordé une autorisation
temporaire pour les vaccins Covid-19 en décembre 2020 et en janvier et
février 2021. “L’autorisation
d’urgence en vertu du règlement 174 est destinée à une utilisation
d’urgence et n’est pas une autorisation de mise sur le marché.”
BUPA, un assureur britannique, a déclaré qu’il ne
fournissait pas de couverture pour les vaccins Covid car il s’agit d’un
“traitement expérimental” :
“Les
effets secondaires résultant du vaccin COVID-19 ne sont pas couverts par notre
exclusion pour : Complications résultant de conditions/traitements exclus ou
restreints et exclusion des traitements expérimentaux”.
Une cliente de Manuvie en France a également déclaré que
son assureur vie lui avait dit qu’il ne paierait pas si elle prenait le vaccin
expérimental.
Toutes les lettres d’autorisation de la Food and Drug
Administration (FDA) des Etats-Unis pour les vaccins COVID-19 stipulent
expressément que les vaccins sont “un
vaccin expérimental non homologué pour une quelconque indication” et
la FDA a spécifiquement exigé que : “Tout le matériel promotionnel relatif
au vaccin COVID-19 doit clairement et visiblement … indiquer que ce produit
n’a pas été approuvé ou homologué par la FDA”.
Le guide
de la FDA sur l’autorisation d’utilisation d’urgence de produits médicaux
exige que la FDA “veille à ce que les destinataires soient informés …
qu’ils ont la possibilité d’accepter ou de refuser le produit EUA.” Dans
le cadre d’une EUA, les vaccins ne peuvent pas être rendus obligatoires.
En effet, ils ne peuvent être ni homologués ni approuvés pour la raison même qu’ils n’ont pas fait l’objet d’essais cliniques de phase 3. En fait, le déploiement massif de ces vaccins auprès de populations entières constitue en soi l’essai clinique requis pour l’octroi d’une telle autorisation et d’une telle licence, et ces essais cliniques ne seront pas terminés avant 2023.
Deutsche Version:
Das diese Woche ergangene Urteil des Europäischen Gerichtshofs für Menschenrechte, das die Zwangsimpfung von Vorschulkindern in der Tschechischen Republik genehmigt, scheint der letzte Schritt zu sein, um die experimentelle “Covid”-Impfung zur Pflicht zu machen. Ich habe einige Kommentare unten eingefügt. Bitte sehen Sie sich auch die gestrigen UK Column News an, in denen sie die Interessenkonflikte der EGMR-Richter aufgedeckt haben. Es ist die übliche Geschichte: alles wurde gekauft und wird nun von Bill Gates et al. kontrolliert. Es gibt keine Kontrolle und Ausgewogenheit beim EGMR. Übrigens, wenn Sie nicht schon Ihr Lesezeichen hinzugefügt haben und jeden Montag, Mittwoch und Freitag um 13 Uhr britischer Zeit die UK Column News sehen, sollten Sie das tun. Dies ist eine globale Verschwörung und das UK Column News Team packt sie für uns aus, erklärt alle Dokumente und zeigt, wie die Agenda aufgebaut ist, Schritt für Schritt. Dies ist ESSENTIAL viewing: https://www.ukcolumn.org/.
Dabei handelt es sich um experimentelle Va((ins, die in den USA eine “Emergency Use Authorisation” und in der EU und Großbritannien eine “Conditional Marketing Authorisation” erhalten haben. Gesetzlich können sie nicht verpflichtend gemacht werden, aber natürlich finden die Kriminellen, die unsere sogenannten Regierungen leiten, andere Wege, um die Menschen zu zwingen, sie zu haben, wie Immunitätspässe, “PCR-Tests” und imprägnierte Masken (siehe beigefügtes Video).
Jeder begrüßte die Resolution des Europarates vom letzten Januar, in der es hieß, dass die Impfung gegen das Coronavirus nicht verpflichtend gemacht werden kann, aber diese Resolution war sehr irreführend. Ich hatte keine Zeit, einen Kommentar zum gesamten Dokument zu schreiben, daher wiederhole ich im Folgenden nur den Kommentar eines meiner Korrespondenten. Meine Diskussion zu diesem Thema wird unten fortgesetzt, gefolgt von einigen anderen Kommentaren von französischsprachigen Aktivisten.
ANFANG DES KOMMENTARS DES KORRESPONDENTEN
Heute wurde eine Resolution des Europarates verabschiedet, die es den Mitgliedsstaaten verbietet, eine Impfung gegen das Coronavirus vorzuschreiben oder sie zur Diskriminierung von Arbeitnehmern oder allen, die sich nicht impfen lassen, zu verwenden.
KOMMENTAR: “Der EU-Rat verhandelt und verabschiedet nicht nur Rechtsakte, sondern auch Dokumente wie Schlussfolgerungen, Entschließungen und Erklärungen, die keine Rechtswirkung entfalten sollen. Der Rat verwendet diese Dokumente, um einen politischen Standpunkt zu einem Thema zu äußern, das mit den Tätigkeitsbereichen der EU in Zusammenhang steht. Diese Art von Dokumenten legt lediglich politische Verpflichtungen oder Positionen fest – sie sind in den Verträgen nicht vorgesehen. Sie sind daher nicht rechtsverbindlich.”
Erstens handelt es sich nicht um Impfstoffe, sondern um GMOs, also injizierbares genetisches Material.
Zweitens: Der Europarat berät nur den Europäischen Gerichtshof für Menschenrechte in Straßburg.
Drittens: Von der Abwesenheit einer Verpflichtung zu sprechen, bedeutet an sich schon, einen Völkermord an einem Teil der Bevölkerung zu legitimieren.
Dies ist eine Illusion.
ENDE DES KOMMENTARS DES KORRESPONDENTEN
Zusätzlich:
Die Europäische Union hat eine vorübergehende und streng COVID-19-bezogene Ausnahmeregelung von bestimmten Bestimmungen der GVO-Richtlinie für klinische Studien mit COVID-19-Impfstoffen und -Behandlungen, die genetisch veränderte Organismen (GVO) enthalten oder aus diesen bestehen, im Juli 2020 vorgesehen. In diesem Dokument wird ausdrücklich darauf hingewiesen, dass die Ausnahmeregelung für “investigational medicinal products” auf Englisch und “médicaments expérimentaux” auf Französisch gilt.
Die Europäische Arzneimittelbehörde hat für die derzeit vertriebenen Covid-Impfstoffe eine bedingte Marktzulassung erteilt. Für diese Zulassung können “weniger vollständige pharmazeutische und nicht-klinische Daten akzeptiert werden”.
Die britische Arzneimittelbehörde MHRA (Medicines and Healthcare products Regulatory Agency) hat eine vorläufige Zulassung für den Impfstoff Covid-19 im Dezember 2020 sowie im Januar und Februar 2021 erteilt. “Die Notfallgenehmigung gemäß Verordnung 174 ist für die Verwendung in Notfällen bestimmt und stellt keine Genehmigung für das Inverkehrbringen dar.”
BUPA, ein britischer Versicherer, sagte, dass er keine Deckung für Covid-Impfstoffe bietet, da es sich um eine “experimentelle Behandlung” handelt:
“Nebenwirkungen, die durch den COVID-19-Impfstoff verursacht werden, sind nicht durch unseren Ausschluss für abgedeckt: Komplikationen, die aus ausgeschlossenen oder eingeschränkten Bedingungen/Behandlungen resultieren, und Ausschluss experimenteller Behandlungen.”
Eine Manuvie-Kundin in Frankreich gab außerdem an, dass ihr Lebensversicherer ihr sagte, dass er nicht zahlen würde, wenn sie den experimentellen Impfstoff einnimmt.
Alle Zulassungsbescheide der US Food and Drug Administration (FDA) für COVID-19-Impfstoffe weisen ausdrücklich darauf hin, dass es sich bei den Impfstoffen um “einen Prüfimpfstoff handelt, der für keine Indikation zugelassen ist”, und die FDA hat ausdrücklich gefordert: “Alle Werbematerialien im Zusammenhang mit dem COVID-19-Impfstoff müssen deutlich und auffällig … darauf hinweisen, dass dieses Produkt nicht von der FDA zugelassen oder lizenziert wurde.”
Die FDA-Leitlinie zur Notfallzulassung von Medizinprodukten verlangt, dass die FDA “sicherstellt, dass die Empfänger informiert werden … dass sie die Möglichkeit haben, das EUA-Produkt zu akzeptieren oder abzulehnen.” Unter einer EUA können Impfstoffe nicht zwingend vorgeschrieben werden.
Tatsächlich können sie nicht lizenziert oder zugelassen werden, und zwar genau aus dem Grund, weil sie keine klinischen Studien der Phase 3 durchlaufen haben. Tatsächlich ist der massenhafte Einsatz dieser Impfstoffe in ganzen Bevölkerungen die für eine solche Zulassung und Lizenzierung erforderliche klinische Studie, und diese klinischen Studien werden nicht vor 2023 abgeschlossen sein.
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European court rules compulsory childhood vaccination doesn’t violate human rights
The ECHR says the Czech Republic’s policy pursues ‘the legitimate aims of protecting health.’
Compulsory childhood vaccination in the Czech Republic, with failure to do so resulting in a fine or being barred from nursery school, doesn’t violate the European Convention on Human Rights, the European Court of Human Rights found on Thursday.
The case brought before the ECHR concerned several parents who had refused compulsory vaccinations for their children and had received a fine — in one case — while several others had been unable to send their children to nursery school. The parents argued that this was a violation of respect for private life.
The ECHR said Thursday that the Czech policy “pursued the legitimate aims of protecting health as well as the rights of others” and that in all decisions concerning children “their best interests must be of paramount importance.” Ultimately, the court found that the Czech immunization policy was “consistent with the best interests of the children who were its focus.”
While the policy prevented the children from going to nursery school, it didn’t prevent admission to primary school, with the court stating that the barring from nursery school meant “it was a preventative rather than punitive measure.”
The case had to take into account the so-called margin of appreciation, which is the degree of discretion permitted by a member country. In this case, the court found that the margin of appreciation “should be a wide one” and that the measures could be considered “necessary in a democratic society.”
Of the 17 judges on the case, one expressed a partly concurring and partly dissenting opinion, while another dissented.
La Cour européenne juge que la vaccination obligatoire des enfants ne viole pas les droits de l’homme
La CEDH estime que la politique de la République tchèque poursuit “les objectifs légitimes de protection de la santé”.
La vaccination obligatoire des enfants en République tchèque, dont le non-respect est passible d’une amende ou d’une interdiction d’accès à l’école maternelle, ne viole pas la Convention européenne des droits de l’homme, a estimé jeudi la Cour européenne des droits de l’homme.
L’affaire portée devant la CEDH concernait plusieurs parents qui avaient refusé les vaccinations obligatoires pour leurs enfants et avaient reçu une amende – dans un cas – tandis que plusieurs autres n’avaient pas pu envoyer leurs enfants à l’école maternelle. Les parents ont fait valoir qu’il s’agissait d’une violation du respect de la vie privée.
La CEDH a déclaré jeudi que la politique tchèque “poursuivait les objectifs légitimes de protection de la santé ainsi que les droits d’autrui” et que dans toutes les décisions concernant les enfants “leur intérêt supérieur doit être d’une importance primordiale.” En fin de compte, la Cour a estimé que la politique tchèque de vaccination était “compatible avec l’intérêt supérieur des enfants qui en étaient l’objet”.
Si la politique empêchait les enfants d’aller à l’école maternelle, elle n’empêchait pas l’admission à l’école primaire, la cour déclarant que l’exclusion de l’école maternelle signifiait “qu’il s’agissait d’une mesure préventive plutôt que punitive.”
L’affaire devait tenir compte de ce que l’on appelle la marge d’appréciation, qui est le degré de discrétion autorisé par un pays membre. En l’espèce, la Cour a estimé que la marge d’appréciation “devait être large” et que les mesures pouvaient être considérées comme “nécessaires dans une société démocratique.”
Sur les 17 juges chargés de l’affaire, l’un a exprimé une opinion partiellement concordante et partiellement dissidente, tandis qu’un autre a émis une opinion dissidente.
Europäisches Gericht entscheidet, dass Pflichtimpfungen im Kindesalter nicht gegen die Menschenrechte verstoßen
Der EGMR sagt, die Politik der Tschechischen Republik verfolge “die legitimen Ziele des Gesundheitsschutzes”.
Die obligatorische Impfung von Kindern in der Tschechischen Republik, die bei Nichtbefolgung zu einer Geldstrafe oder zum Ausschluss vom Kindergarten führt, verstößt nicht gegen die Europäische Menschenrechtskonvention, entschied der Europäische Gerichtshof für Menschenrechte am Donnerstag.
Der Fall, der vor den EGMR gebracht wurde, betraf mehrere Eltern, die die Pflichtimpfungen für ihre Kinder verweigert hatten und – in einem Fall – eine Geldstrafe erhielten, während mehrere andere ihre Kinder nicht in den Kindergarten schicken durften. Die Eltern argumentierten, dies sei eine Verletzung der Achtung des Privatlebens.
Der EGMR sagte am Donnerstag, dass die tschechische Politik “die legitimen Ziele des Schutzes der Gesundheit sowie der Rechte anderer” verfolgte und dass bei allen Entscheidungen, die Kinder betreffen, “deren bestes Interesse von überragender Bedeutung sein muss.” Letztendlich befand das Gericht, dass die tschechische Impfpolitik “mit dem besten Interesse der Kinder, die im Mittelpunkt standen, übereinstimmte.”
Während die Politik die Kinder daran hinderte, in den Kindergarten zu gehen, verhinderte sie nicht die Aufnahme in die Grundschule, wobei das Gericht feststellte, dass der Ausschluss vom Kindergarten “eher eine präventive als eine strafende Maßnahme war.”
Der Fall musste den so genannten Ermessensspielraum berücksichtigen, das ist der Grad des Ermessens, den ein Mitgliedsland zulässt. In diesem Fall befand das Gericht, dass der Ermessensspielraum “weit sein sollte” und dass die Maßnahmen als “notwendig in einer demokratischen Gesellschaft” angesehen werden können.
Von den 17 Richtern, die mit dem Fall befasst waren, äußerte einer eine teils zustimmende und teils abweichende Meinung, während ein anderer abweichend urteilte.
Bonjour Fabien,
Une précision utile, la décision Vavricka et autres (rendue avant-hier le 8 avril 2021) a été bien mal comprise.
En effet, la plupart des interprétations ont été faites sur la base d’un communiqué de presse qui mettait en avant une qualification de vaccinations « nécessaires dans une
société démocratique », idée voire idéologie sans qualification juridique, certes extraite de la décision.
La vraie et entière décision, elle, se trouve ici : https://hudoc.echr.coe.int/fre#{%22documentcollectionid2%22:[%22GRANDCHAMBER%22,%22CHAMBER%22],%22itemid%22:[%22001-209377%22]}
Et dans cette décision, les choses sont plus nuancées :
En simple, la Cour reconnaît comme elle l’a déjà fait que la vaccination obligatoire, en tant qu’intervention médicale non volontaire, constitue une ingérence dans l’exercice du droit au respect de la vie privée au sens de l’article 8 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme.
La question principale, pour la Cour, était de savoir si cette ingérence était justifiée et donc, proportionnée.
Or, pour ce cas tchèque, c’est notamment au regard d’un régime tchèque moins sévère que le régime français, que la CourEDH conclut au rejet du recours : contrairement à la France, l’enfant Tchèque n’est pas complètement privé de collectivité, puisque la Cour retient que la mesure était limitée à l’admission en maternelle (l’admission en primaire étant, elle, tout à fait possible).
Pour plus de précision, je vous invite à lire les 75 pages de cette décision Vavricka.
Bien à vous,
Arnaud
Chers amis,
En complément de mon mail sur la décision récente de la CEDH je vous envoie l’article de Liliane Held-Khawam avec la vidéo de Slovodan Despot.
Cette décision scandaleuse va à l’encontre d’une précédente décision (Affaire Salvetti 7 septembre 2002) où la CEDH avait dit exactement le contraire : « En tant que traitement médical non volontaire, la vaccination obligatoire constitue une ingérence dans le droit au respect de la vie privée ».
A vous de juger !
Amitiés
Françoise
Me Arnaud Durand, Cabinet Lexprecia
SARL d’Avocat au Barreau de Paris
33 rue du Petit Musc, 75004 Paris
Palais D1166 – Tél. 01.75.432.432
Lexprecia.com – DejaVu.legal
As a useful clarification, the Vavricka et al. decision (issued the day before yesterday, 8 April 2021) has been widely misunderstood.
Indeed, most of the interpretations were made on the basis of a press release that put forward a qualification of vaccinations “necessary in a democratic society”, an idea or even ideology without legal qualification, certainly extracted from the decision.
democratic society”, an idea or even an ideology without legal qualification, certainly extracted from the decision.
And in this decision, things are more nuanced:
In simple terms, the Court recognises, as it has already done, that compulsory vaccination, as a non-voluntary medical intervention, constitutes an interference with the exercise of the right to respect for private life within the meaning of Article 8 of the European Convention on Human Rights.
The main question for the Court was whether this interference was justified and therefore proportionate.
In this Czech case, the ECtHR concluded that the Czech regime was less severe than the French one and rejected the appeal: unlike in France, the Czech child was not completely deprived of community life, since the Court noted that the measure was limited to admission to kindergarten (admission to primary school being entirely possible).
For more details, I invite you to read the 75 pages of the Vavricka decision.
Chers amis,
En complément de mon mail sur la décision récente de la CEDH je vous envoie l’article de Liliane Held-Khawam avec la vidéo de Slovodan Despot.
Cette décision scandaleuse va à l’encontre d’une précédente décision (Affaire Salvetti 7 septembre 2002) où la CEDH avait dit exactement le contraire : « En tant que traitement médical non volontaire, la vaccination obligatoire constitue une ingérence dans le droit au respect de la vie privée ».
A vous de juger !
Amitiés
Françoise
Dear friends,
As a complement to my email on the recent ECHR decision I am sending you the article by Liliane Held-Khawam with the video of Slovodan Despot.
This scandalous decision goes against a previous decision (Salvetti case, 7 September 2002) where the ECHR had said exactly the opposite: “As a non-voluntary medical treatment, compulsory vaccination constitutes an interference with the right to respect for private life”.
You be the judge!
Best wishes
Françoise
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